Partager avec les lecteurs et les "écouteurs" ces créations qui ne font pas partie de la grande foire que les médias déversent pour le soi-disant "air du temps".
Des chansons peu connues découvrez les paroles de "Une Ile"
Une île
Une île
Une île au large de l'espoir
Où les hommes n'auraient pas peur
Et douce et calme comme ton miroir
Une île
Claire comme un matin de Paques
Offrant l'océane langeur
D'une sirène à chaque vague
Oh Viens
Viens mon amour
La-bas ne seraient point ces fous
Qui nous disent d'être sages
Ou que vingt ans est le bel âge
Voici venir le temps de vivre
Voici venu le temps d'aimer.
Une île
Une île au large de l'amour
Posée sur l'autel de la mer
Satin couché sur le velours
Une île
Une île chaude comme la tendresse
Espérante comme un désert
Qu'un nuage de pluie caresse
Oh Viens
Viens mon amour
La-bas ne seraient point ces fous
Qui nous cachent les longues plages
Viens mon amour
Fuyons l'orage
Voici venir le temps de vivre
Voici venir le temps d'aimer
Une île
Une île qu'il nous reste à bâtir
Mais qui donc pourrait retenir
Les rêves que l'on rêve à deux
Une île
Voici qu'une île est en partance
Et qui sommeillait en nos yeux
Depuis les portes de l'enfance
Oh Viens
Viens mon amour
Car c'est la-bas que tout commence
Je crois à la dernière chance
Et tu es celle que je veux
Voici venir le temps de vivre
Voici venir le temps d'aimer
Une île
T'es Beau - de Pauline Croze
T'es beau parce que t'es courageux,
De regarder dans le fond des yeux,
Celui qui te défie d'être heureux.
T'es beau,
T'es beau comme un cri silencieux,
Vaillant comme un métal précieux,
Qui se bat pour guérir de ses bleus.
C'est comme une rengaine,
Quelques notes en peine,
Qui forcent mon cœur,
Qui forcent ma joie,
Quand je pense a toi,
A présent.
J'ai beau,
J'ai beau me dire qu'au fond c'est mieux,
Même si c'est encore douloureux,
Je n'ai pas de recoin silencieux.
C'est beau,
C'est beau parce que c'est orageux,
Avec ce temps je connais peu,
Les mots qui trainent au coin de mes yeux.
C'est comme une rengaine,
Quelques notes en peine,
Qui forcent mon cœur,
Qui forcent ma joie
Quand je pense à toi,
Toi qui sors de scène,
Sans armes et sans haine,
J'ai peur d'oublier,
J'ai peur d'accepter,
J'ai peur des vivants,
A présent.
T'es beau...
> "La nuit je mens "
On m'a vu dans le Vercors
Sauter à l'élastique
Voleur d'amphores
Au fond des criques
J'ai fait la cour a des murènes
J'ai fais l'amour J'ai fait le mort
T'étais pas née
A la station balnéaire tu t'es pas fait prier J'étais gant de crin, geyser
Pour un peu, je trempais
Histoire d'eau
La nuit je mens
Je prends des trains a travers la plaine
La nuit je mens Je m'en lave les mains.
J'ai dans les bottes des montagnes de questions
Où subsiste encore ton écho
Où subsiste encore ton écho.
J'ai fait la saison dans cette boite crânienne
Tes pensées, je les faisais miennes
T'accaparer, seulement t'accaparer d'estrade en estrade
J'ai fait danser tant de malentendus
Des kilomètres de vie en rose
Un jour au cirque
Un autre a chercher a te plaire dresseur de loulous
Dynamiteur d'aqueducs
La nuit je mens
Je prends des trains a travers la plaine
La nuit je mens effrontément
J'ai dans les bottes des montagnes de questions
Ou subsiste encore ton écho
Ou subsiste encore ton écho.
On m'a vu dans le Vercors
Sauter à l'élastique
Voleur d'amphores
Au fond des criques
J'ai fait la cour a des murènes
J'ai fais l'amour J'ai fait le mort
T'étais pas née
La nuit je mens
Je prends des trains a travers la plaine
La nuit je mens
Je m'en lave les mains.
J'ai dans les bottes des montagnes de questions
Ou subsiste encore ton écho
Ou subsiste encore ton écho.
La nuit je mens...
Alain Bashung
> "La nuit je mens "
On m'a vu dans le Vercors
Sauter à l'élastique
Voleur d'amphores
Au fond des criques
J'ai fait la cour a des murènes
J'ai fais l'amour J'ai fait le mort
T'étais pas née
A la station balnéaire tu t'es pas fait prier J'étais gant de crin, geyser
Pour un peu, je trempais
Histoire d'eau
La nuit je mens
Je prends des trains a travers la plaine
La nuit je mens Je m'en lave les mains.
J'ai dans les bottes des montagnes de questions
Où subsiste encore ton écho
Où subsiste encore ton écho.
J'ai fait la saison dans cette boite crânienne
Tes pensées, je les faisais miennes
T'accaparer, seulement t'accaparer d'estrade en estrade
J'ai fait danser tant de malentendus
Des kilomètres de vie en rose
Un jour au cirque
Un autre a chercher a te plaire dresseur de loulous
Dynamiteur d'aqueducs
La nuit je mens
Je prends des trains a travers la plaine
La nuit je mens effrontément
J'ai dans les bottes des montagnes de questions
Ou subsiste encore ton écho
Ou subsiste encore ton écho.
On m'a vu dans le Vercors
Sauter à l'élastique
Voleur d'amphores
Au fond des criques
J'ai fait la cour a des murènes
J'ai fais l'amour J'ai fait le mort
T'étais pas née
La nuit je mens
Je prends des trains a travers la plaine
La nuit je mens
Je m'en lave les mains.
J'ai dans les bottes des montagnes de questions
Ou subsiste encore ton écho
Ou subsiste encore ton écho.
La nuit je mens...
Voir et entendre l'interprétation sublime de Rosemary Standley
Un poème de Antoine PAUL
Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu'on connaît à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais.
A celle qu'on voit apparaître
Une seconde à sa fenêtre
Et qui, preste, s'évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanoui.
A la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré sa main.
(A la fine et souple valseuse
(Qui vous sembla triste et nerveuse
(Par une nuit de carnaval
(Qui voulut rester inconnue
(Et qui n'est jamais revenue
(Tournoyer dans un autre bal.
A celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
Près d'un être trop différent
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D'un avenir désespérant.
(A ces timides amoureuses
(Qui restèrent silencieuses
(Et portent encor votre deuil
(A celles qui s'en sont allées
(Loin de vous, tristes esseulées
(Victimes d'un stupide orgueil.
Chères images aperçues
Espérances d'un jour déçues
Vous serez dans l'oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu'on se souvienne
Des épisodes du chemin.
Mais si l'on a manqué sa vie
On songe avec un peu d'envie
A tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre
Aux cœurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu'on n'a jamais revus.
Alors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lèvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l'on n'a pas su retenir.
Loreena Mc Kennit
Chanteuse canadienne dont les origines reliés aux intonations celtiques, nous fait découvrir une musique au charme intemporel n'en déplaise aux blasés...
C'est une réelle découverte, les mélodies sont de véritables bijoux.
Une sensibilité qui soulève en nos esprits des montagnes d'émotions où chacun retrouve son humanité à travers celle-ci.
Pour l'instant je n'ai encore rien indiqué mais ça arrive!