Pouvons-nous passer de musique , de chansons ?

Les formes d'écoutes sont si nombreuses... n'oublions pas celle de notre cœur.

Partager avec les lecteurs et les "écouteurs" ces créations qui ne font pas partie de la grande foire que les médias déversent pour le soi-disant "air du temps".

Jacques Brel

Des chansons  peu connues  découvrez  les paroles de "Une Ile"


Une  île

 

Une île

Une île au large de l'espoir

Où les hommes n'auraient pas peur

Et douce et calme comme ton miroir

Une île

Claire comme un matin de Paques

Offrant l'océane langeur

D'une sirène à chaque vague

Oh Viens

Viens mon amour

La-bas ne seraient point ces fous

Qui nous disent d'être sages

Ou que vingt ans est le bel âge

Voici venir le temps de vivre

Voici venu le temps d'aimer.

 

Une île

Une île au large de l'amour

Posée sur l'autel de la mer

Satin couché sur le velours

Une île

Une île chaude comme la tendresse

Espérante comme un désert

Qu'un nuage de pluie caresse

Oh Viens

Viens mon amour

La-bas ne seraient point ces fous

Qui nous cachent les longues plages

Viens mon amour

Fuyons l'orage

Voici venir le temps de vivre

Voici venir le temps d'aimer

 

Une île

Une île qu'il nous reste à bâtir

Mais qui donc pourrait retenir

Les rêves que l'on rêve à deux

Une île

Voici qu'une île est en partance

Et qui sommeillait en nos yeux

Depuis les portes de l'enfance

Oh Viens

Viens mon amour

Car c'est la-bas que tout commence

Je crois à la dernière chance

Et tu es celle que je veux

Voici venir le temps de vivre

Voici venir le temps d'aimer

Une île

 

 


T'es Beau - de Pauline Croze


T'es beau parce que t'es courageux,
De regarder dans le fond des yeux,
Celui qui te défie d'être heureux.
T'es beau,
T'es beau comme un cri silencieux,
Vaillant comme un métal précieux,
Qui se bat pour guérir de ses bleus.
C'est comme une rengaine,
Quelques notes en peine,
Qui forcent mon cœur,
Qui forcent ma joie,
Quand je pense a toi,
A présent.
J'ai beau,
J'ai beau me dire qu'au fond c'est mieux,
Même si c'est encore douloureux,
Je n'ai pas de recoin silencieux.
C'est beau,
C'est beau parce que c'est orageux,
Avec ce temps je connais peu,
Les mots qui trainent au coin de mes yeux.
C'est comme une rengaine,
Quelques notes en peine,
Qui forcent mon cœur,
Qui forcent ma joie
Quand je pense à toi,
Toi qui sors de scène,
Sans armes et sans haine,
J'ai peur d'oublier,
J'ai peur d'accepter,
J'ai peur des vivants,
A présent.
T'es beau...

Alain Bashung

> "La nuit je mens "

 

On m'a vu dans le Vercors

Sauter à l'élastique

Voleur d'amphores

Au fond des criques

J'ai fait la cour a des murènes

J'ai fais l'amour J'ai fait le mort

T'étais pas née

A la station balnéaire tu t'es pas fait prier J'étais gant de crin, geyser

Pour un peu, je trempais

Histoire d'eau

La nuit je mens

Je prends des trains a travers la plaine

La nuit je mens Je m'en lave les mains.

J'ai dans les bottes des montagnes de questions

Où subsiste encore ton écho

Où subsiste encore ton écho.

J'ai fait la saison dans cette boite crânienne

Tes pensées, je les faisais miennes

T'accaparer, seulement t'accaparer d'estrade en estrade

J'ai fait danser tant de malentendus

Des kilomètres de vie en rose

Un jour au cirque

Un autre a chercher a te plaire dresseur de loulous

Dynamiteur d'aqueducs

La nuit je mens

Je prends des trains a travers la plaine

La nuit je mens effrontément

J'ai dans les bottes des montagnes de questions

Ou subsiste encore ton écho

Ou subsiste encore ton écho.

On m'a vu dans le Vercors

Sauter à l'élastique

Voleur d'amphores

Au fond des criques

J'ai fait la cour a des murènes

J'ai fais l'amour J'ai fait le mort

T'étais pas née

La nuit je mens

Je prends des trains a travers la plaine

La nuit je mens

Je m'en lave les mains.

J'ai dans les bottes des montagnes de questions

Ou subsiste encore ton écho

Ou subsiste encore ton écho.

La nuit je mens...

Ma petite entreprise
Ma petite entreprise
Connaît pas la crise
Épanouie elle exhibe
Des trésors satinés
Dorés à souhait
J'ordonne une expertise
Mais la vérité m'épuise
Inlassablement se dévoile
Et mes doigts de palper
Palper là cet épiderme
Qui fait que je me dresse
Qui fait que je bosse
Le lundi
Le mardi
Le mercredi
Le jeudi
Le vendredi
De l'aube à l'aube
Une partie de la matinée
Et les vacances
Abstinence

Ma petite entreprise
Ma locomotive
Avance au mépris des sémaphores
Me tire du néant
Qu'importe
L'amour importe
Qu'importe
L'amour s'exporte
Qu'importe

 

Le porte à porte
En Crimée
Au sud de la Birmanie
Les lobbies en Libye
Au Laos
L'Asie coule à mes oreilles

Ma petite entreprise
Connaît pas la crise
S'expose au firmament
Suggère la reprise
Embauche
Débauche
Inlassablement se dévoile

Et mes doigts de palper
Palper là cet épiderme
Qui fait que je souque
Qui fait que je toque
À chaque palier
Escalier C
Bâtiment B
À l'orée de ses lèvres

Qu'importe
L'amour importe
Qu'importe
L'amour s'exporte
Je perds le nord
Au Cap Horn
Quand je vois se poindre
Les Pyramides
Nez à nez
Mes lubies
L'Asie coule à mes oreilles

 

Ma petite entreprise
Connaît pas la crise
Épanouie elle exhibe
Des trésors satinés
Dorés à souhait

Le lundi
Le mardi
Le mercredi
Le jeudi
Le vendredi
De l'aube à l'aube.

Le lundi
Le mardi
Le mercredi
Le jeudi
Le vendredi

 

De l'aube à l'aube.
De l'aube à l'aube

 



Alain Bashung

> "La nuit je mens "

 

On m'a vu dans le Vercors

Sauter à l'élastique

Voleur d'amphores

Au fond des criques

J'ai fait la cour a des murènes

J'ai fais l'amour J'ai fait le mort

T'étais pas née

A la station balnéaire tu t'es pas fait prier J'étais gant de crin, geyser

Pour un peu, je trempais

Histoire d'eau

La nuit je mens

Je prends des trains a travers la plaine

La nuit je mens Je m'en lave les mains.

J'ai dans les bottes des montagnes de questions

Où subsiste encore ton écho

Où subsiste encore ton écho.

J'ai fait la saison dans cette boite crânienne

Tes pensées, je les faisais miennes

T'accaparer, seulement t'accaparer d'estrade en estrade

J'ai fait danser tant de malentendus

Des kilomètres de vie en rose

Un jour au cirque

Un autre a chercher a te plaire dresseur de loulous

Dynamiteur d'aqueducs

La nuit je mens

Je prends des trains a travers la plaine

La nuit je mens effrontément

J'ai dans les bottes des montagnes de questions

Ou subsiste encore ton écho

Ou subsiste encore ton écho.

On m'a vu dans le Vercors

Sauter à l'élastique

Voleur d'amphores

Au fond des criques

J'ai fait la cour a des murènes

J'ai fais l'amour J'ai fait le mort

T'étais pas née

La nuit je mens

Je prends des trains a travers la plaine

La nuit je mens

Je m'en lave les mains.

J'ai dans les bottes des montagnes de questions

Ou subsiste encore ton écho

Ou subsiste encore ton écho.

La nuit je mens...

Voir et entendre l'interprétation sublime de Rosemary Standley

https://www.youtube.com/watch?v=wO14I37B5Wg


Brassens  Les Passantes

Un poème de Antoine PAUL

Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu'on connaît à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais.

A celle qu'on voit apparaître
Une seconde à sa fenêtre
Et qui, preste, s'évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanoui.

A la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré sa main.

(A la fine et souple valseuse
(Qui vous sembla triste et nerveuse
(Par une nuit de carnaval
(Qui voulut rester inconnue
(Et qui n'est jamais revenue
(Tournoyer dans un autre bal.


A celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
Près d'un être trop différent
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D'un avenir désespérant.

(A ces timides amoureuses
(Qui restèrent silencieuses
(Et portent encor votre deuil
(A celles qui s'en sont allées
(Loin de vous, tristes esseulées
(Victimes d'un stupide orgueil.


Chères images aperçues
Espérances d'un jour déçues
Vous serez dans l'oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu'on se souvienne
Des épisodes du chemin.

Mais si l'on a manqué sa vie
On songe avec un peu d'envie
A tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre
Aux cœurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu'on n'a jamais revus.

Alors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lèvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l'on n'a pas su retenir.


Des artistes à découvrir ... ou redécouvrir

Chanteuses

Loreena Mc Kennit

Chanteuse canadienne dont les origines reliés aux intonations celtiques, nous fait découvrir une musique au charme intemporel n'en déplaise aux blasés...

C'est une réelle découverte, les mélodies sont de véritables bijoux.

Une sensibilité qui soulève en nos esprits des montagnes d'émotions où chacun retrouve son humanité à travers celle-ci.

Chanteurs

Pour l'instant je n'ai encore rien indiqué mais ça arrive!

Groupes